Le koï Yellow Doragon (ou plus souvent orthographié Yellow Dragon dans le monde anglophone) est une variété de carpe koï appréciée pour sa couleur vive et son allure majestueuse, qui évoque le dragon doré mythologique de la culture asiatique. Voici un descriptif détaillé et un aperçu de son histoire :
Descriptif du koï Yellow Doragon
Nom : Yellow Dragon ou Yellow Doragon (nom d’inspiration japonaise)
Origine : Japon
Type : Carpe koï (Cyprinus carpio)
Catégorie : Généralement classée dans les Kawarimono (variétés non classiques, souvent uniques)
Couleur : Jaune vif à doré, parfois avec des reflets métalliques
Écailles : Peut être Doitsu (sans écailles ou partiellement écailleux) ou Wagoi (à écailles complètes)
Taille : Jusqu’à 70-80 cm à l’âge adulte, selon les conditions de vie
Particularités :
La couleur jaune rappelle la symbolique impériale en Chine et au Japon (le jaune étant une couleur noble et solaire).
Son nom évoque la puissance et la chance, le dragon étant un symbole de force et de transformation.
Histoire et symbolique
Le Yellow Doragon n’est pas une variété classique comme le Kohaku ou le Showa, mais plutôt une création plus récente issue des nombreux croisements réalisés par les éleveurs japonais, souvent dans les fermes de Niigata.
Développement moderne : Ce type de koï a été développé à partir de croisements entre des variétés jaunes ou dorées comme le Yamabuki Ogon (koï jaune métallique) et d’autres types à motifs plus sauvages ou inhabituels. Le résultat : un poisson vibrant, symbolisant à la fois tradition et modernité.
Symbolique asiatique :
Le dragon est un être mythique très respecté dans la culture chinoise et japonaise. Il représente la sagesse, la longévité, la prospérité et la puissance.
Le jaune symbolise la lumière, l’énergie solaire, et souvent la noblesse ou le pouvoir impérial, surtout en Chine ancienne.
En résumé
Le koï Yellow Doragon est une variété brillante et fascinante, prisée pour sa beauté solaire et sa symbolique forte. Il n’a pas l’histoire millénaire des variétés classiques, mais incarne bien l’évolution continue de l’art de l’élevage des koïs au Japon.
